Ambiance vintage avec la lampe au sodium basse pression

Philips SOX-E 18 W – séquence de préchauffage. Voici une lampe au sodium basse pression (ou LPS pour low pressure sodium), une espèce en voie de disparition qu’on reconnaît à sa teinte «orange pur». La couleur rose est due au néon (avec un peu d’argon) qui permet l’amorçage. La séquence complète dure environ 10 minutes. JusqueLire la suite « Ambiance vintage avec la lampe au sodium basse pression »

Les calices des prêtres réfractaires

Pendant la Terreur (à l’époque de la Révolution Française à la fin du XVIII­e), les prêtres étaient persécutés et devaient se cacher pour éviter soit la déportation (dans les pires conditions que l’on peut imaginer) soit le reniement de leur fonction religieuse pour devenir simple fonctionnaire. Certains prêtes réfractaires, soutenus et cachés par les villageoisLire la suite « Les calices des prêtres réfractaires »

Trois lampes anciennes avec une lentille pour focaliser la lumière

On trouve aujourd’hui des lampes torche à led équipées d’une grosse lentille en forme de loupe, au lieu du traditionnel réflecteur et verre plat. Voilà qui paraît moderne! Eh bien pourtant non, l’idée n’est pas nouvelle et les lampes à huile la mettaient déjà en pratique : 1. Petite lanterne de voyage, comportant dans leLire la suite « Trois lampes anciennes avec une lentille pour focaliser la lumière »

Grand-père Alphide : de la camaille à l’hydro-électricité

Il y a quelque temps dans une foire aux livres (tous les livres à un dollar!), je suis tombé sur un petit ouvrage artisanal tapé à la machine : l’Appel de minuit — Préliminaires : grand-père Alphide, publié au Québec dans le milieu des années 50 par L.-P. Tremblay sous le pseudonyme de Paul de Claver.Lire la suite « Grand-père Alphide : de la camaille à l’hydro-électricité »

Allumoirs d’antan (par Papoum)

Voici le billet de Papoum, notre contributeur d’aujourd’hui et collectionneur passionné! À alcool Ces allumoirs très simples, sans molettes de réglage de mèches,étaient vendus relativement peu chers. Certains modèles étaient placés au bout de perches pour allumer cierges ou lustres. D’autres, comme décrits dans la publicité ci-dessus possédaient un embout (la clé) pour ouvrir etLire la suite « Allumoirs d’antan (par Papoum) »

Boire ou conduire son char à bœufs, nul besoin de choisir

Avant l’automobile et bien avant Facebook, les paysans allaient faire des affaires — vendre et acheter divers marchandises ou animaux — dans les foires des villes avoisinantes. Point de camion ni de tracteur donc : ils y allaient en chariot à bœufs.

La ville était loin et ils devaient rentrer de nuit; ils avaient alors l’obligation de signaler leur chariot à l’aide d’une lanterne sous peine d’amende de la maréchaussée. Seulement voilà, ils avaient oublié leur lanterne à la ferme! Que faire?

Ils allaient donc à l’auberge acheter une bouteille du vin, qu’ils vidaient dans leur gosier plutôt que par terre (pour pas gâcher) : cassée à la base et retournée avec une chandelle fichée dans le goulot, voilà une parfaite lanterne de remplacement! Hips!